Déparasitage, des méthodes plus complémentaires que concurrentielles

Comme présenté dans l'article précédent (à lire en cliquant ici), l’organisme humain a, de tout temps, utilisé des techniques pour neutraliser les vers et protozoaires délétères à sa santé.
Plus que jamais, nous sommes exposés à des pollutions environnementales (toxiques, électromagnétiques…) favorisant la prolifération des parasites.
Pourtant, ces techniques n’ont plus leur place dans nos pratiques de soins, de prévention et de bien-être. Il est grand temps de réintégrer la notion de parasites à nos techniques de rétablissement du terrain.
Mais concrètement, comment faire ?
Il existe de nombreuses méthodes naturelles, mais toutes n’agissent pas au même niveau. Loin d’être concurrentielles, ces méthodes sont donc complémentaires. D’où l’intérêt de faire un petit bilan des différentes techniques et de leurs usages.
Lorsqu’on parle de parasites, on pense en premier lieu aux parasites intestinaux, dont certains (mais pas tous !) seront sensibles à un traitement vermifuge bien connu, accessible sans ordonnance, et parfois donné aux enfants en cas de problèmes d’oxyures. Mais il existe bien d’autres moyens de s’attaquer aux parasites, et ce, de manière plus naturelle et plus globale. Car les parasites sont loin de se cantonner à la sphère intestinale.
Le déparasitage, une démarche de santé globale
Avant d’entrer dans le vif du sujet, il convient de rappeler que la capacité du corps humain à résister aux agents pathogènes est propre à chaque individu. Parmi les paramètres influençant cette résistance : le système immunitaire de l’individu, les ressources disponibles chez ce dernier pour alimenter les organismes indésirables (essentiellement les polluants), et la diversité des agents pathogènes présents qui vont évoluer en symbiose et, souvent, créer des biofilms protecteurs (notamment dans la maladie de Lyme).
C’est donc souvent tout un écosystème qu’il va falloir rééquilibrer, et ce, sur un terrain dont il faudra prendre soin si on ne souhaite pas faire pire que mieux. Le déparasitage doit donc intervenir dans une démarche de santé globale incluant l’élimination des polluants (métaux lourds, solvants, pesticides…), l’assainissement de l’environnement (eau filtrée, hygiène électromagnétique, géobiologie…), le soutien du système immunitaire et des émonctoires (notamment foie, reins et intestins), le rééquilibrage de l’alimentation (anti-toxique et/ou anti-inflammatoire) et les soins dentaires (traitement des cavitations, retrait des dents dévitalisées, vérification des amalgames...).
Le déparasitage doit intervenir dans une démarche de santé globale :
- élimination des polluants
- assainissement de l’environnement
- soutien du système immunitaire et des émonctoires
- rééquilibrage alimentaire
- soins dentaires
Vecteurs et transporteurs
Il faut également garder à l’esprit qu’un organisme en bonne santé parvient à éliminer les parasites, à condition de ne pas lui en apporter en trop grande quantité. D’où le besoin d’assainir l’environnement et l’alimentation, mais aussi de s’occuper des animaux domestiques qui, en tant que vecteurs de parasites, doivent faire partie intégrante de la démarche. La première règle d’un bon déparasitage est donc de traiter l’ensemble du foyer en même temps (parents, enfants et animaux), afin d’éviter les recontaminations croisées.
« Première règle : traiter l’ensemble du foyer en même temps (parents, enfants et animaux). »
Par ailleurs, les parasites constituent des transporteurs d’autres agents pathogènes : champignons, bactéries et virus. C’est pourquoi un traitement antifongique, antibiotique ou antiviral peut ne pas suffire à traiter une pathologie dans la durée, car le transporteur de l’agent, qui est souvent un parasite, lui reste présent. D’où l’intérêt d’un déparasitage régulier, mais aussi complet ! Car il ne s’agit pas de supprimer les parasites et de laisser le champ libre aux agents pathogènes libérés…
« Deuxième règle : le déparasitage doit permettre de supprimer les parasites, mais aussi les bactéries, virus et champignons libérés lors de leur destruction. »
Le zapper, un dispositif antiparasitaire basé sur les fréquences
En ce sens, le zapper constitue un moyen sûr et fiable d’effectuer un déparasitage en intégrant cette notion de libération d’autres agents pathogènes.
Le principe du zapper est de délivrer une onde carrée riche en harmoniques afin de toucher un large spectre d’agents pathogènes sur l’ensemble de l’organisme. Le zapper effectue en quelque sorte un balayage capable de détruire de grands parasites, tels que des douves, mais aussi de plus petits, comme des protozoaires, ainsi que des champignons, des bactéries et des virus.
« Le zapper délivre une onde carrée riche en harmoniques afin de toucher un large spectre d’agents pathogènes sur l’ensemble de l’organisme. »
Ce grand nettoyage global va offrir un répit au système immunitaire qui sera alors en mesure de combattre et d’éliminer la plupart des intrus restants. Cependant, ceux qui se trouvent dans les entrailles, c’est-à-dire les organes creux (estomac, intestin grêle, côlon, vessie, vésicule biliaire) sont protégés des fréquences générées par le zapper.
Ces dernières circulent peu, voire pas, dans le contenu des viscères, car le courant du zapper passe principalement à travers les liquides corporels et les éléments conducteurs (parois des cellules constitutives des tissus).
Ainsi, pour parvenir à un déparasitage complet, les séances de zapper doivent être complétées par des cures antiparasitaires permettant d’aller nettoyer les viscères (charmant…).
« Les séances de zapper doivent être complétées par des cures antiparasitaires permettant de nettoyer les cavités du système digestif. »
Les cures antiparasitaires, un complément indispensable
La reine des cures antiparasitaires est sans nul doute le Dr Hulda Clark dont j’évoquais les découvertes concernant les liens entre agents pathogènes et maladies chroniques dans mon article précédent. Plusieurs ouvrages détaillent ses méthodes et leurs indications. Je ne peux que vous en conseiller la lecture.
Personnellement, pour faire simple, j’utilise généralement la synergie cannelle et clou de girofle (en gélules ou en teinture mère), qui permet de compléter les séances de zapper sans trop agresser le système digestif pour les personnes sensibles. Mais bien sûr, il existe d’autres associations phytothérapeutiques… À chacun sa méthode.
« Troisième règle : éliminer en parallèle les polluants de l’organisme et, si possible, de l’environnement (eau et ondes électromagnétiques). »
Comme mentionné en début d’article, l’élimination en parallèle des polluants de l’organisme sera essentielle car les parasites s’en nourrissent. S’il n’y a plus de polluants, les parasites ne peuvent plus proliférer. Quelle qu’elle soit, la cure antiparasitaire doit donc s’accompagner d’une détoxication des polluants, ainsi qu’à un soutien des systèmes immunitaire et hépato-biliaire par phytothérapie et micronutrition, afin d’aider l’organisme à gérer les toxines libérées et à éliminer les déchets.
« Toute cure antiparasitaire doit s’accompagner d’une détoxication des polluants et d’un soutien des systèmes immunitaire et hépato-biliaire, afin d’aider à l’élimination des toxines et des déchets. »
Le déparasitage oui, mais à quel rythme ?
Le bon rythme est d’effectuer ces cures de déparasitage et de détoxication deux fois par an. De préférence à l’automne et au printemps (comme toujours ;-) et en complément de séances de zapper.
« Pour un déparasitage complet et durable, miser sur la synergie cure anti-parasitaire + séances de zapper »
Pourquoi ?
Car il existe une véritable synergie entre ces deux méthodes. Le zapper va, non seulement, exercer un effet immunostimulant et potentialiser les principes actifs des plantes, mais aussi, nettoyer le sang des éventuels œufs de parasites libérés au niveau intestinal par la prise de plantes ; œufs susceptibles de rejoindre la circulation sanguine, notamment en cas de porosité intestinale.
C’est pourquoi le zapper peut s’utiliser très régulièrement. Je détaillerai son usage dans mon prochain article.
« Le zapper exerce un effet immunostimulant, potentialise les principes actifs des plantes et nettoie le sang des éventuels œufs de parasites libérés lors de la prise de plantes. »
L’irrigation du côlon pour un nettoyage et déparasitage intestinal complet
Enfin, même si je ne suis pas convaincue que l’expression soit la mieux adaptée, la cerise sur le gâteau sera de terminer avec quelques séances d’irrigation du côlon, aussi appelée hydrothérapie colonique.
L’intérêt de ces séances est d’évacuer les déchets coincés dans les villosités de la paroi du gros intestin. C'est-à-dire résidus de fibres alimentaires, cellules mortes, mucus, selles et, possiblement, fragments de parasites et autres agents pathogènes, ainsi que leurs toxines. Sans cela, ces résidus pourraient faire le lit de nouveaux agents pathogènes pouvant entrainer des troubles, tels que :
- fatigue,
- flatulences,
- diarrhées,
- constipation,
- intolérances alimentaires,
- etc.
L’irrigation du côlon peut s’effectuer chez un praticien spécialement formé et équipé, ou à domicile grâce à des dispositifs désormais disponibles dans le commerce. Mais ça, c’est un autre sujet, dont je vous parlerai plus en détails dans un prochain article…
« L’irrigation du côlon permet d’évacuer les déchets coincés dans les villosités de la paroi du gros intestin, dont des fragments de parasites et leurs toxines. »
Le générateur de fréquences, une alternative au zapper ?
Contrairement au zapper qui va opérer un balayage fréquentiel permettant de toucher un ensemble d’agents pathogènes, le générateur de fréquences propose une méthode de tir ciblé. En d’autres mots, l’un tire à la mitraillette, tandis que l’autre opère en mode snipper. Le générateur de fréquences présente donc un fort intérêt lorsque l’on a identifié précisément le pathogène à abattre. Ce dernier correspond à une fréquence qui lui est propre. On règle le générateur sur cette fréquence et le traitement par cette fréquence le détruit de manière ciblée.
Avertissement quant aux contenus de mes articles
Les articles que je rédige en collaboration avec l’équipe Navoti ont pour objectif de vous livrer des informations, commentaires, et parfois, opinions. Ces articles vous sont proposés en vertu des lois sur la liberté d’expression, et ce, à titre purement documentaire.
Remarque importante : je ne suis pas un médecin.
Ainsi, les informations contenues dans mes articles ne peuvent se substituer à l’application de traitements ou de conseils médicaux délivrés par des professionnels de santé qualifiés.
Par ailleurs, bien que je m’attache à vérifier mes sources et à faire valider, à chaque fois que cela est possible, les informations que je partage par des experts, je ne suis pas infaillible.
C’est pourquoi :
- Je n’assume aucune responsabilité quant à l’éventuelle inexactitude de certaines informations ou à la manière dont ces informations pourraient être réutilisées et/ou mises hors de leur contexte,
- Je vous invite à vous forger votre propre opinion à propos des différents sujets abordés et à faire remonter vos éventuels commentaires via l’adresse mail contact@navoti.info.
C’est au travers d’échanges respectueux et de partages éclairés que nous progressons dans la connaissance.