Usage du Zapper, un dispositif antiparasitaire naturel

Dans mon article précédent, je vous ai décrit les différentes pratiques antiparasitaires pour éliminer les vers et protozoaires, ainsi que leur complémentarité (à relire en cliquant ici). Grâce à la gamme de fréquences qu’il génère, le zapper agit sur un large ensemble d’agents pathogènes (parasites, champignons, bactéries et virus). Il constitue donc une arme de choix pour complémenter d'une cure antiparasitaire et contrôler les niveaux d’infestation tout au long de l’année. Je vous propose aujourd’hui d’aller un peu plus loin sur son utilisation concrète. Quand ? Comment ? Pour qui ?... Vous voulez tout savoir de ses usages ? C’est parti…

Au risque de me répéter, le zapper a été créé par le Dr Hulda Clark. Ses découvertes ont permis à un nombre considérable de personnes de se soigner à travers le monde. Elle a en effet communiqué les résultats de ses recherches sur les liens entre agents pathogènes et maladies chroniques, ainsi que ses protocoles de soins. Mais aussi, les plans des dispositifs qu’elle a développés (y compris le zapper), afin qu’ils puissent bénéficier au plus grand monde. Comme tout explorateur de nouveaux courants de pensées, elle n’a pas manqué d’être décrié. Et ses thèses ne sont reconnues ni par la science, ni par la médecine.

Je vous invite donc à vous faire votre propre avis en consultant ses livres.

Par ailleurs, j’attire votre attention sur le fait que rien ne garantit que l’utilisation du zapper Clark puisse traiter ou guérir une quelconque maladie. Son usage ne doit donc pas se substituer à un traitement médical. Ce point me semble essentiel à préciser si vous envisagez d’utiliser le zapper, de conseiller son usage à vos consultants, ou de leur faire bénéficier d’une séance lors d’une consultation.

Un faible courant électrique, sans danger pour l’Homme

Pour comprendre le fonctionnement du zapper, il est important de considérer que de nombreuses inflammations qui se manifestent dans le corps sont causées par des parasites ou autres agents pathogènes, tels que des bactéries ou des champignons.

La médecine conventionnelle utilise diverses substances chimiques et molécules actives pour éliminer ces micro-organismes.

Cependant, le Dr Hulda Clark a démontré qu'il était possible de se débarrasser de ces intrus en utilisant un faible courant électrique positif, sans danger pour l'Homme. Une découverte qui l’a conduite à développer le zapper.

Le Zapper, un dispositif antiparasitaire et bien plus encore

Le zapper opère à une fréquence de 30 kHz, démontrée comme étant la fréquence universelle la plus efficace pour combattre divers parasites et agents pathogènes. Une séance de zapper a donc un effet antiparasitaire, antibactérien, antifongique et antiviral, mais pas seulement.

Le courant électrique généré va également stimuler le système immunitaire, notamment via l’activation des lymphocytes NK (Natural Killer), qui ont une action cytotoxique naturelle sur les agents pathogènes et les cellules cancéreuses.

Il permet aussi d’activer la détoxification de l'organisme, ce qui est particulièrement intéressant dans le cadre d’un déparasitage (abordé dans mon précédent article à relire ici). Enfin, par ses actions sur les systèmes immunitaire et hépatobiliaire, le zapper permet de réduire les inflammations et les douleurs qui les accompagnent, tout en augmentant la vitalité.

Le principe d’une séance de zapping

Une séance de zapping classique se déroule en cinq temps, avec trois périodes d'émission de fréquences de 7 minutes séparées par deux pauses de 20 minutes. Ce programme, d’une durée totale de 61 minutes, est préréglé. Les trois séquences de 7 minutes permettent de détruire successivement les agents pathogènes présents et libérés lors du zapping.

La première va détruire une première salve de virus, bactéries et parasites. Mais, étant donné que les bactéries contiennent des virus et les parasites des bactéries, en mourant, bactéries et parasites libèrent de nouveaux agents pathogènes.

D’où l’intérêt de la deuxième séquence, puis de la troisième qui finira le travail en éliminant les derniers virus libérés par les dernières bactéries.

Cette observation a été réalisée par Hulda Clark qui indique ne jamais avoir retrouvé d’agents pathogènes après la troisième séquence, et ce, même après plusieurs heures.

Une alternative sans pause

Le Dr Hulda Clark rapporte également que les virus et bactéries sont éliminés en 3 minutes, contre 5 minutes pour les parasites de type ténias, douves et vers ronds, et 7 minutes pour les acariens.

Une fois quelques séances complètes de zapping effectuées quotidiennement sur plusieurs jours (couplées à une cure antiparasitaire et à une détoxication), il est donc possible d’envisager des séances de zapping continues allant d’une dizaine de minutes à une heure. Chaque séance de courte durée contribuera à freiner le développement d’agents pathogènes ayant nouvellement infestés l’organisme.

Par ailleurs, pour augmenter l’efficacité du zapper, il est recommandé de varier les emplacements des électrodes (pieds, mains, hanches, etc.). Ainsi cela assure la bonne transmission de la fréquence dans toutes les zones du corps.

Quand effectuer un déparasitage ?

Comme pour de nombreuses choses, c’est à chacun de trouver le protocole qui lui convient en fonction de son état de santé et de ses possibilités.

À noter néanmoins que, dans l’idéal, lors d’un déparasitage complet (si possible deux fois par an, de préférence au moment du solstice d’été et du solstice d’hiver), il est recommandé d’effectuer une séance de zapping complète (c’est-à-dire avec pauses) quotidiennement pendant 14 jours d'affilée, de la nouvelle lune à la pleine lune. Ainsi, si vous souhaitez entamer un déparasitage pour préparer l’hiver, l’idéal sera de le commencer à la nouvelle lune du 02 octobre prochain, pour le terminer à la pleine lune du 16 octobre.

Le zapping peut-il provoquer des réactions ?

En général, l'utilisation du zapper entraîne très peu d'effets indésirables, même chez les jeunes enfants. S’ils existent, les effets secondaires sont légers et temporaires. Il peut s’agir d’étourdissements, de vomissements et de maux de tête. Cependant, prudence.

Chez les personnes faisant l’objet d’une forte infestation par des agents pathogènes, comme dans le cas de la maladie de Lyme, le zapping peut provoquer une réaction d’Herxheimer. C’est-à-dire une réaction inflammatoire pouvant aggraver les symptômes initiaux. Il convient alors de stopper les séances de zapper et de les reprendre une fois que les niveaux d’agents pathogènes auront été suffisamment réduits. Il est donc intéressant de noter que la réaction à une séance de zapper peut représenter un indicateur de la présence d’une maladie de Lyme sous-jacente.

Y-a-t-il des contre-indications au Zapper ?

Bien que sans danger, l’utilisation du zapper exclut certaines sous-populations.

À savoir les femmes enceintes et allaitantes, les enfants de moins de 6 mois (sur lesquels il n’a pas été testé par principe de précaution). Mais aussi les patients souffrant d’épilepsie ou ayant subi une transplantation d’organe avec médication antirejet. Ainsi que les personnes portant des appareils électroniques implantés, tels que des pacemakers.

Voilà, vous savez maintenant comment venir à bout des parasites et autres agents pathogènes naturellement et durablement. Alors top départ, le 02 octobre, c’est bientôt !