Notre approche de l'eau pour boire une eau saine et vivante
L’EAU selon NAVOTI
Une vision large qui nous emmène loin des côtes
Vers une relation naturellement bienveillante avec l’eau en nous et à l’extérieur de nous
L’eau est mouvement, relation ; elle apporte et elle emporte à travers son cycle éternel de recyclage.
Au milieu de ce cycle, l’homme en puise quelques gouttes pour sa subsistance, et en contient beaucoup pour sa constitution et sa résonance.
Quelle relation entretient-il avec cet élément vital ?
Dictatoriale, amicale, bienveillante, mécaniste, mentale, naturelle ?
Selon le type de relation que chacun entretient avec l'eau, correspond une technique.
Voici notre approche de l’eau. Voici les techniques que nous avons adoptées pour notre subsistance et notre existence.
Généralités
65 à 75 % de notre corps sont fait d’eau. L’eau devrait donc être la première préoccupation dans notre alimentation et notre mode de vie.
Quelle eau buvons-nous ? La quantité ingérée est-elle suffisante à notre santé ? Sa qualité répond-elle aux besoins de notre corps ? Comment retrouver une eau optimale pour notre santé à partir de l’eau du robinet ?
Si la notion de quantité d’eau est régulièrement mentionnée de par sa nécessité à notre survie, la qualité de l’eau est, quant à elle, plus rarement abordée et très fréquemment réduite à son aspect potabilité. Cette notion de potabilité de l’eau après traitement est elle-même réduite au seul point de vue des pollutions chimiques.
Le traitement de l’eau présente des aspects physico-chimiques, « matériels » et quantifiables, tandis que d’autres aspects, non matériels, sont de l’ordre biophysique, en relation avec les propriétés particulières de l’eau.
Pour retrouver une eau vivante, favorable à la vie et à la santé, nous avons à faire face à la grande complexité de l’eau et à ses nombreuses singularités qui rendent nos choix bien difficiles. Particulièrement dans notre civilisation "mentale" qui a besoin d'arguments, de preuves, de chiffres, qui nous perdent dans notre tête alors que l'eau nous attend ailleurs, dans notre sensibilité...
L’approche de Navoti pour une eau saine et vivante
Le traitement de l’eau que propose Navoti consiste à filtrer l’eau afin d’en éliminer l’essentiel des polluants puis à la vortexer pour la revitaliser, améliorer sa biocompatibilité et éliminer les informations résiduelles laissées par les polluants.
Il est ensuite tout à fait possible d’orienter l’activité de l’eau en la dynamisant et en l’informant par des moyens ciblés.
Il est également important de préserver les qualités de cette eau saine et vivante grâce à un mode de conservation adapté.
Selon nous, la base pour une eau de qualité est de filtrer l'eau du réseau et de la revitaliser. Par exemple par l’association d'un purificateur d’eau et d'une carafe à vortex. Nous disposons ainsi d’une eau dynamisée, oxygénée et neutre au niveau de l’information qu’elle contient. Libre à chacun ensuite d’y mettre l’information dont il a besoin.
Pour se faire, et afin de rendre accessible à tous l’eau vivante et de qualité, Navoti propose toute une gamme de purificateurs d’eau, carafe à vortex, vortexeurs de robinet ou de douche, Prills et Pearls pour un effet drainage ou assimilation…) à adapter selon votre budget et vos besoins.
La prise en considération d’une exposition chronique à de faibles quantités de polluants et pollutions est un enjeu majeur de la prévention. L’addition des multiples polluants auxquels nous sommes ainsi exposés quotidiennement en faibles concentrations épuisent, inflamment et oxydent progressivement nos cellules jusqu’à des points de rupture qui donnent naissance aux fameuses maladies dites de civilisation.
Ceci est valable pour les polluants résiduels que l’on trouve dans l’eau du robinet et qui envahissent les liquides autour et à l’intérieur des cellules de notre corps, mais aussi pour d’autres types de pollutions comme les ondes électromagnétiques, qui inondent nos lieux de vie et de travail.
Notre approche consiste à filtrer l’eau de telle façon que ce soit soutenable sur le plan financier, éthique, chimique et biophysique et, par ailleurs,
à permettre la stimulation du système immunitaire afin qu’il puisse s’adapter et répondre aux signaux engendrés par la présence des particules et informations qui restent encore dans l’eau.
Une de nos réflexions qui nous a fait écarter l'osmose inverse après plusieurs années d'expérimentation est qu'on applique à l'eau une volonté tyrannique en la vidant de sa substance pour ne plus rien y laisser qui puisse nous être préjudiciable. Alors que dans le même temps nous absorbons les mêmes polluants qui sont aussi présents dans l'air, dans l'alimentation, etc. Mais il est plus difficile d'appliquer une telle volonté à l'air et à la nourriture. Nous jetons donc notre dévolu sur l'eau car c'est un élément maitrisable, contrôlable, canalisable. Toutefois, l'extension de cette volonté tyrannique à l'air ou à la nourriture, voire aux comportements humains, nous plonge tout droit dans une société de contrôle sous surveillance constante pour vérifier que l'air que l'on respire soit "pur", que la nourriture que l'on ingère soit "pure", que nos comportements soient conformes à certaines règles, etc... Ce rapport au monde ne nous intéresse pas. Il est même terrifiant. C'est pourquoi nous nous sommes orientés vers des filtres qui gardent une porosité avec le monde, une amabilité, une humilité aussi, qui préservent notre humanité en nous faisant sortir de cette logique de prédiction et de contrôle.
L'eau est l'élément de l'humilité. Si nous souhaitons entretenir une relation cohérente avec elle, nous devons parcourir ce chemin vers l'humilité.
En effet, comment peut-on envisager que pour être en bonne santé il faille boire une eau "standardisée et vide", quand d'autres humains sont condamnés à boire l'eau du fleuve Gange ou celle qu'ils ont dans leur environnement proche quelle qu’en soit la qualité. Un élan fraternel nous pousse ainsi à communier avec tous nos frères humains en utilisant l'eau la plus proche de nous, l'eau du réseau, et en lui appliquant une douce filtration par des moyens modestes. La surenchère de moyens a quelque chose d'obscène dans nos sociétés technologiques et cette quête de pureté ne fait pas de nous de meilleurs humains, l’histoire en témoigne. Aussi avons nous choisi de parcourir ce chemin de la relation aimante à l'eau, et à nos contemporains.
I. L’eau, élément de notre planète
Bien que totalement absente à la naissance de la Terre, il y a 4 milliards 560 millions d’années environ, l’eau recouvre 70 % de notre planète moins de 200 millions d’années plus tard et encore aujourd’hui.
L’eau ne se crée pas : elle existe, se déplace et se transforme, tantôt gaz, tantôt liquide, tantôt solide.
Elle est l’élément qui relie la terre et le ciel dans un mouvement cyclique de renouvellement.
Ainsi l’eau des rivières et océans s’évapore, venant gonfler les nuages sous forme de vapeur d’eau jusqu’à condensation puis précipitation de celle-ci en pluie.
Ces précipitations, auxquelles s’ajoute l’eau résultant de la fonte des neiges et des glaciers, ruissèlent à la surface de la terre ou s’infiltrent dans le sol. Une partie rejoindra en profondeur la nappe phréatique, constituant un réservoir d’eau, tandis que l’autre s’écoulera plus superficiellement, abreuvant le sol et affleurant à la surface de la terre.
L’eau de notre planète en quelques chiffres :
Océans : 97,2 % de l’eau disponible
Calotte polaire et glaciers : 2,1 %
Eau souterraine : 0,68 %
Lacs : 0,01 %
Atmosphère : 0,001 %
Entre eau immobilisée (glaciers…) et eau salée non potable pour l’homme (mers et océans), la planète n’offre qu’une très faible proportion d’eau douce présente dans les lacs, les fleuves et les nappes souterraines. Et cette « goutte » d’eau douce disponible doit satisfaire tous les besoins en eau des hommes et leurs activités (vie quotidienne, agriculture, production industrielle…). Elle est donc précieuse et il est primordial de la respecter et de l’utiliser au mieux.
L’eau est « le sang de le terre, support de toute vie » (Viktor Schauberger), le lien entre le monde minéral et celui des végétaux et animaux, le mouvement perpétuel qui unit la terre et le ciel.
II. L’eau dans notre organisme
L’eau présente dans notre monde naturel est aussi l’élément constitutif essentiel de tout organisme vivant. Elle circule dans le corps humain à l’instar d’un « fleuve organisé ».
L’eau est omniprésente et multifonction dans notre corps.
Si l’on considère l’ensemble des molécules qui composent notre corps, l’eau en représente les 99 %.
Elle peut être libre, circulant activement dans la totalité de notre corps dans le sang et la lymphe. Elle est comme un véhicule à disposition des molécules nutritives et des résidus métaboliques qu’elle emmène vers leurs destinations finales (tissus, organes d’élimination…).
L’eau participe aussi à la scission des macromolécules ingérées en éléments de plus petite taille (les nutriments), assimilables par le corps, qu’elle transporte ensuite vers nos cellules.
Jouant un rôle de médiation, elle facilite le mélange des différents milieux de notre corps.
Elle permet également, grâce à ses caractéristiques électroniques et sa polarisation, de « fermer des portes » ou d’en ouvrir, notamment au niveau de la membrane cellulaire.
L’eau se présente également sous forme liée. L’eau liée à nos cellules est intégrée aux structures moléculaires intra et intercellulaires.
L’eau constitue l’élément primordial de notre organisme, et chacune de nos cellules en est emplie et entourée.
Présente en moyenne à 65 % dans notre corps ˗ et jusqu’à 90 % pour certains de nos tissus parmi lesquels notre cerveau ¬˗, on comprend aisément l’importance de l’apport quantitatif en eau de boisson afin que ce volume reste stable, mais aussi l’aspect qualitatif pour que l’eau puisse remplir au mieux ses missions (transporteur, nettoyeur, garde du corps, énergéticien, etc.).
A partir de cela, il est compréhensible de penser que les pathologies puissent être générées par une carence en eau, ou une insuffisance en eau de qualité.
Le docteur Alexis Carrel, Prix Nobel de physiologie ou médecine, confirme que la longévité de nos cellules dépend de la qualité du liquide (l’eau) dans laquelle elles vivent et dégénèrent.
III. Eau du robinet, eau en bouteille
L’eau de source ou minérale, distribuée en bouteille plastique, est sans conteste une eau plus pure que l’eau du robinet bien qu'elle contienne des micro-plastiques et ne soit pas exempte de polluants non plus. Mais, l’une et l’autre sont défaillantes quant à leur aspect « vivant ».
En effet, le traitement industriel de l'eau, son transport, le contenant en plastique, les conditions de stockage..., tout ceci fait perdre à l’eau sa vitalité et son intérêt pour notre santé.
Comment pouvons-nous créer de la vie, du mouvement, de la santé et de l’énergie dans notre organisme avec une eau inerte et dévitalisée ?
1) L’eau du robinet : potabilité synonyme de qualité ?
L’eau du robinet est potable, mais selon certains critères uniquement.
En effet, les critères de potabilités émanant des institutions sanitaires ne concernent que des aspects physico-chimiques de l’eau basés sur des mesures de certains composants.
De ce fait, notre eau du robinet, « l’un des aliments les plus contrôlés » (selon les autorités sanitaires) est de qualité insatisfaisante. Et ceci pour plusieurs raisons :
1. la présence de composants nocifs insuffisamment ou non pris en compte dans les normes françaises :
- le chlore (inhalé, ingéré, absorbé par la peau) dont l’effet sur la santé n’est pas neutre.
- les pesticides
- les résidus médicamenteux
- les métaux lourds
- les bactéries et virus
- les nitrates (limite européenne : 50 mg/l ; recommandation de l’OMS : 25 mg/l)
- divers polluants
2. l’impact de l’exposition chronique à ces faibles quantités de polluants qui s’accumulent au cours du temps n’est pas pris en considération.
Tel est le cas du chlore ajouté à notre eau de boisson quotidienne, les autorités sanitaires arguant qu’en faible quantité il ne tue pas.
Ainsi serait définie une eau potable : une eau qui ne tue pas ou qui ne rend pas malade immédiatement.
De même, l’éventualité que ces « cocktails » de polluants interagissent ou se recomposent entre eux en produisant des éléments plus dommageables ainsi recombinés n’est pas prise en compte, ni même évoquée.
3. la limite de cette approche quantitative :
La présence de ces composants nocifs est évaluée de façon pondérale (présence moléculaire mesurée), sans tenir compte de l’existence de leur information énergétique (leur mémoire demeure dans l’eau).
L’eau a pour mission de soutenir notre métabolisme et participer au fonctionnement harmonieux et fluide de notre organisme. Pourtant, l’eau du robinet dégrade notre métabolisme à long terme. Elle devient de surcroit le véhicule de contaminants de plus en plus présents, et de molécules et informations indésirables.
2) L’eau en bouteille : un bilan environnemental et énergétique défavorable
Fortement préjudiciables pour notre planète, le mode d’extraction et le transport de l’eau sont également énergivores et sources de pollutions. A cela s’ajoute les déchets générés par les contenants en plastique dont la moitié seulement est recyclée.
Il faudrait 100 ml de pétrole et 2 l d’eau pour fabriquer et remplir une bouteille d’1 litre d’eau. Un coût écologique et économique aberrant.
De plus, une fois emprisonnée dans une bouteille plastique, l’eau perd toute son énergie en quelques jours seulement.
En cause : le matériau, les lignes droites du contenant, la stagnation de l’eau, l’entreposage… qui sont incompatibles avec la dynamique de l’eau de source ou minérale qui est vivante « au griffon ».
Il s’ensuit que les minéraux contenus dans l’eau ne sont plus bioactifs et que l’eau s’est oxydée en quelques jours seulement.
D’autre part, le plastique des bouteilles (du PET) est accusé de libérer dans l’eau divers produits, notamment des perturbateurs endocriniens qui déstabilisent les fonctions hormonales (fait constaté dans diverses études scientifiques).
Depuis 2017, face à cette contradiction et incohérence, certaines boutiques de produits biologiques ont retiré l’eau en bouteille plastique de leur magasin. C'est le cas notamment de l'enseigne BIOCOOP pionnière en la matière.
IV. Le traitement de l’eau
Ces dernières années ont émergé de nouvelles techniques et approches pour obtenir une eau meilleure pour notre santé et notre vitalité à partir de l’eau du robinet.
Quelles sont-elles ? Qu’apportent-elles à réellement à notre eau de boisson ? Cette « nouvelle » eau est-elle préférable aux eaux de sources ou minérales en bouteille ?
Nous vous aidons à y voir plus clair parmi ces eaux traitées et ces eaux « emprisonnées », afin de vous aider à trouver une solution adaptée à votre budget, vos besoins, et votre santé.
1) Les différentes approches du traitement de l’eau
L’approche physico-chimique :
Elle consiste en la mesure de composés chimiques polluants. Des normes et seuils ont été mis en place par les institutions sanitaires pour ces composants quantifiables.
Cette approche est celle appliquée à l’eau du robinet (voir paragraphe III). Elle mène à la potabilité et non à la qualité d’une eau.
L’approche biophysique et subtile :
Après plus d’un siècle de travaux de scientifiques, de chercheurs et de naturalistes, les nouvelles études et connaissances nous amènent aujourd’hui à un autre niveau d’analyse et de perception de l’eau, et à compléter ces critères « mécanistes » avec de nouvelles approches liées à :
- la capacité de dynamisation de l’eau,
- sa « biocompatibilité »,
- sa structuration ,
- son potentiel de résonance,
- sa capacité à véhiculer des informations (réception et transmission),
- ses propriétés de régénération, stimulation et induction des processus vitaux dans notre organisme.
La notion d’eau "vivante" ou "vitale" se distingue progressivement de celle de l’eau potable.
On prend dorénavant en compte la notion d’énergie de l’eau.
De même, la conscience de l’impact d’une eau de consommation de faible qualité (voire « morte ») sur la santé émerge dans les esprits et dans les travaux scientifiques.
2) Les dispositifs de filtration de l’eau
Les techniques de filtration les plus courantes sont : le charbon actif, la céramique et l’osmose inverse.
- La filtration au charbon actif est une filtration satisfaisante mais partielle, qui permet de laisser dans l’eau des minéraux et oligo-éléments essentiels au bon fonctionnement de notre organisme.
Elle supprime en grande partie le chlore, les pesticides, certains solvants organiques, certains métaux…
Son spectre d’action, bien que très large, est moins complet que l’osmose inverse.
Après le passage à travers du charbon actif, on obtient une eau dépourvue des mauvaises odeurs et mauvais goûts, contenant encore quelques polluants.
- La filtration par la céramique : L’eau traverse les micro-pores (de 0,2 à 0,5 microns de diamètre) de la céramique qui retiennent les bactéries, les sédiments, la rouille, les algues, le chlore et les résidus chimiques les plus fins.
L’élément filtrant est imprégné de fines particules d’argent qui désinfecte et empêche la prolifération des bactéries dans le filtre.
Le filtre céramique peut être couplé à un filtre au charbon actif afin d’améliorer notamment le goût de l’eau.
- L’osmose inverse consiste à appliquer à l’eau une surpression osmotique à travers une membrane semi-perméable qui ne laisse passer quasiment que les molécules d’eau. Les autres éléments, désirables et indésirables, sont retenus puis évacués dans l’eau de rejet.
La membrane d’osmose permet de supprimer des particules aussi petites que les ions, les nitrates, et les bactéries et virus.
3) Les dispositifs de revitalisation/dynamisation de l’eau
- Le vortex : Il se forme sous l’action d’une force centripète qui va de la périphérie vers le centre (cf. les tornades, cyclones). Dans certaines carafes à vortex, une hélice entrainée par un moteur va reproduire un tourbillon naturel afin d'apporter ces qualités "implosives" à l'eau.
Ce mouvement concentre l’énergie et crée des formes bien connues dans la nature : coquillages, nuages, formes animales et végétales…
Le vortex réoxygène et restructure l’eau. On constate aussi une réduction du chlore résiduel, une augmentation de la qualité vibratoire et un léger effet sur la neutralisation du pH de l’eau.
- La shungite : c'est un minerai ancestral fortement carboné issu d’un gisement historique en Russie. La shungite est un excellent purificateur et dynamiseur de l’eau.
Grâce à son spectre d’adsorption très large, la shungite va dépolluer l’eau en adsorbant les métaux lourds, les nitrates, le chlore, les pesticides, les solvants organiques, et bien d’autres composants.
Au contact de la shungite, l’eau s’enrichit en minéraux et en fullerènes qui vont transmettre au liquide leurs précieuses propriétés. La qualité énergétique de l’eau est également accrue. On utilise souvent la shungite en infusion froide, en plongeant des pierres concassées au fond d'une carafe.
- Les formes, les ondes de forme, la pensée :
L’eau est sensible à son environnement, aux matériaux, aux sons, aux formes… Selon le degré de cohérence des éléments qu’elle traverse ou avec lesquels elle est en contact, la structure, la vitalité et l’information de l’eau vont être améliorées quantitativement et qualitativement. Ainsi des objets ayant une certaine forme ou des symboles, peuvent rayonner des ondes de forme ayant un impact très intéressant sur l'eau. Par exemple avec la carafe Vitbot de forme ovoïde au nombre d’or, ou encore la Fleur de vie (incrustée dans le contenant, par exemple)
- Citons également les ondes biologiques (Oli-Dyn®, biodynamisation selon la méthode de Marcel Violet), les ondes musicales (musique classique, notamment), la méditation et la prière, etc.
V. La qualité et le traitement de l’eau selon Navoti
1) Notre objectif :
Une eau saine, vivante et hautement biocompatible
Nous recherchons une eau largement dépolluée (et non pure), vivante et naturelle.
La pureté n’est pas présente dans la nature ; c’est un concept culturel, humain, que nous tentons de lui appliquer. L'eau est d'abord mouvement, vecteur, et médiateur d'éléments et d'informations.
Notre approche : l’eau dans la nature comme « modèle »
Afin de comprendre cet élément vital qu’est l’eau, à la fois dans sa simplicité, mais aussi dans sa complexité et ses « secrets », il nous faut l’observer à la fois en nous, et autour de nous dans son environnement naturel.
Après avoir expérimenté l’osmose inverse durant de nombreuses années, nous sommes revenus à une filtration plus simple et moins complète. Nos réflexions sur le « vivant » nous conduisent aujourd’hui à accorder une grande importance aux qualités biophysiques de l’eau (structuration, dynamisation, résonance, mémoire informationnelle), et à modérer la pression que l’on met sur elle pour la vider de sa substance, quand bien même une partie de celle-ci serait indésirable.
Deux postulats ont orienté notre approche pour une eau de qualité :
- Les travaux du professeur Jacques Benveniste sur la mémoire de l’eau, repris ensuite par le professeur Luc Montagnier, qui démontrent que les « mémoires » des éléments qui ont été présents dans l’eau sont autant nuisibles, voire plus pernicieuses, que les particules elles-mêmes.
- Une eau vidée de sa « substance » cherche à se rééquilibrer et va combler ses manques en puisant les minéraux et autres éléments dont elle est ainsi dépourvue dans l’organisme du buveur.
A notre sens, l’eau souffre aujourd’hui de concepts que nous lui faisons porter alors que nous sommes incapables d’entretenir une relation simple et naturelle avec elle.
L’eau, qui nous constitue et nous nourrit, doit respecter les lois de la Nature et de la Vie, à l’image de celle qui coule sur notre planète.
Afin de retrouver cette eau vivante biocompatible, nous avons donc observé l’eau et sa symbiose avec le milieu naturel qui l’entoure. Il s’agit de faire « revivre » notre eau du robinet afin de lui redonner ses caractéristiques primordiales et vitales.
Dans la Nature, l’eau présente une dynamique spontanée et naturelle. Elle se trouve toujours en mouvement, suivant des parcours sinueux où courbes, méandres, ondulations et tourbillons se succèdent. C’est le berceau du vortex.
Le vortex est ce mouvement tourbillonnaire centripète que la Nature utilise pour concentrer l’énergie, réorganiser la matière, nettoyer et régénérer ses eaux. La structure du vortex présent dans la nature libère ainsi l’élément-Eau et l’élément-Air des poisons qui les dénaturent.
2) Notre choix technique :
"Pour une eau biocompatible accessible à tous"
Nous considérons comme prioritaire l’accession au plus grand nombre à une eau vivante et de qualité.
Notre philosophie et nos recherches nous conduisent aujourd’hui à considérer avec autant d’importance la vitalité et la biocompatibilité de l’eau et sa pureté physico-chimique.
Dans notre société, l’approche hygiéniste prédomine et cherche à tout aseptiser plutôt que d’élargir la vision et permettre l’ouverture des systèmes les uns avec les autres.
Pour exemple, l’eau de nos rivières trouve des solutions de dynamisation dans les mouvements naturels de vortex au cours de son parcours dans son environnement. L’interférence eau-nature environnante permet aux deux éléments de s’enrichir, se réguler, etc.
Ne souhaitant pas aller vers cette recherche de pureté absolue menant à une eau vidée voire morte, ou vers la peur de la nocivité des particules résiduelles après filtration, Navoti a fait le choix d’un processus basé sur le respect de l’eau « naturelle » et d’une relation vivante et confiante à cet élément.
Notre démarche :
L’intelligence du vivant au service de notre santé grâce à une eau hautement biocompatible
Tous nos systèmes purifient et revitalisent l’eau en une seule étape.
Une filtration douce permet de neutraliser l’essentiel des polluants tout en conservant la minéralité de l’eau grâce à un procédé de filtration adapté et non invasif : la membrane micro-poreuse Aragon.
Après le passage par les filtres Aragon de Geyser, on obtient une eau assainie et dépolluée efficacement, mais contenant encore quelques polluants à l’état de matière et d’informations.
Il s’agit ensuite :
- de régénérer le corps afin qu’il soit en mesure, physiologiquement et énergétiquement, de gérer l’exposition aux faibles polluants résiduels pour qu’ils n’aient pas d’impact sur notre santé ;
- de libérer l’eau des mémoires et de la rendre à sa vie et à son intelligence, afin qu’elle résonne de nouveau avec notre organisme et stimule notre immunité.
Notre système immunitaire, gardien de notre santé, peut alors remplir efficacement son rôle : il filtre et sépare ce qui nous est assimilable à un moment donné et ce qui ne l’est pas (qui sera rejeté).
Les informations sont transmises à l’eau non pas par une substance, mais grâce à un mouvement qui génère un vortex.
Nous créons ce vortex grâce à un tourbillon naturel par le biais de structures spiralées sur des membranes de filtres (membrane Aragon) ou par des mouvements rotatifs dans l’eau (carafe à vortex).
Le vortex permet d’oxygéner l’eau (car il lie l’oxygène à l’eau), d’en équilibrer le pH, et surtout de la redynamiser.
Pour renforcer la dynamisation et le structuration de l’eau, nous avons choisi les matériels suivants :
- La carafe à vortex qui revitalise, réoxygène et restructure l’eau, produisant une énergie saine et positive favorable aux organismes vivants.
- La carafe Vitbot, de forme ovoïde aux proportions Phi (Nombre d’Or), génère une dynamisation naturelle par ses ondes de formes. Elle préserve ainsi les qualités de l’eau et conserve une eau vivante grâce au vortex naturel.
La solarisation des liquides est possible grâce à son verre bleu cobalt.
- Le système Oli Dyn® rend l’eau vivante en lui apportant un spectre de fréquences très large en ondes biologiques, ces dernières étant le carburant indispensable au fonctionnement optimal des cellules.
Cet appareil de grande qualité a été breveté en 1984 et conçu par Jean Pagot, ingénieur en physique des particules au CNRS, et collaborateur de M. Violet depuis les années 1950 jusqu’en 1970.