L’eau et la lumière. La dépollution de nos eaux internes.

person Posté par: Christian Gana list Dans: Eau pure et eau vivante Le :

Par Christian GANA - chercheur autodidacte sur l’eau, l’homme, la terre. Concepteur et fabricant d'orgonite et de biocatalyseurs.

 

Dans son livre « le message de l’eau », Masaru Emoto nous place devant une évidence : la faculté de voir par nous mêmes l’impact de l’environnement, des mots, des émotions et des pensées sur la structure cristalline de l’eau. L’eau se révèle être le miroir qui reflète notre environnement ou notre esprit.

La culture occidentale nous enseigne différents rituels d’hygiène matérielle, corporelle, éventuellement alimentaire, mais aucun rituel d’hygiène énergétique ne nous est proposé. Nous nous lavons quotidiennement, nous soignons notre apparence, nous prenons soin de notre corps et de nos maisons, nous adoptons un régime alimentaire qui nous est plus ou moins approprié, mais il nous est rarement conseillé de vérifier l’état de nos eaux internes. Et pourtant nous sommes constitués en moyenne de 70 % d’eau !

Les biophotons

La lumière, et l’eau, sont fondamentales à toute forme de vie terrestre.

Depuis plusieurs décennies, on suppute que des champs électromagnétiques sont associés aux systèmes vivants. Mais il reste extrêmement difficile de mener à bien les recherches dans ce domaine, puisque pour une expérience réussie et convenablement documentée, bien d’autres n’ont pu être reproduites.

Mais comment tout cela commença ?

Dès 1927, le chercheur russe A. Gurwitsch découvrit que les radicelles des oignons communiquaient entre elles sous terre grâce à des émissions de rayonnements de type ultraviolets. Cette communication déterminait une modification de la multiplication cellulaire dans la radicelle de l'oignon voisin. Gurwitsch appela cette radiation "radiation mitogénétique".

En 1975, le biophysicien allemand Fritz Albert Popp et son équipe de chercheurs (Université de Kaiserslautern), a l’aide d’un détecteur de photons ultra sensibles, confirmait que c’est bien la lumière qui est à l’origine de la transmission des signaux. Il prouvait par la même voie que toutes les cellules vivantes émettent et captent en permanence de la lumière. Une lumière cohérente sous forme de photons ultra-ténus, appelés biophotons transporte bien de l'information nécessaire à l'organisation des cellules des organismes vivants.

L'ADN est le siège de ces échanges de biophotons

F.A. Popp et ses collaborateurs ont aujourd'hui démontré que :

1)       Le rayonnement est issu d'un champ électromagnétique cohérent présent dans les organismes vivants.

2)       L'ADN et ses résonateurs - capacité à absorber une onde électromagnétique et à l'émettre de nouveau - sont la source de ces biophotons.

3)       Le mécanisme trouve sa source dans les processus de stockage de lumière (par exemple dans les cavités de résonance) et les canaux de transmission d'informations correspondant.

4)       Le rayonnement coordonne l'ensemble des processus biochimiques des cellules (communication intracellulaire) et transmet des informations également à travers les cellules (communication intercellulaire).

5)       Ce rayonnement est le régulateur et le canal d'informations chez les êtres vivants.

A partir du cœur de chaque cellule, cette lumière issue de l’ADN, agissant au travers et par l’intermédiaire de l’environnement aqueux, régule la communication, la duplication, la croissance et la régénération cellulaires, ainsi que les processus biochimiques.

La capacité de stockage, d’émission et de transmission d’informations de l’ADN peut être augmentée, par la présence de certains éléments naturels dans la cellule et maximalisée lorsque l’eau intracellulaire est libérée de toute substance étrangère ou toxique qui en dégrade les fonctions.

Ce champ lumineux, bioactif et vivant, s’exprime dans notre organisme au travers de nos eaux internes, et de la vapeur d’eau que nous exhalons en permanence et qui entoure en permanence notre corps physique. Ce champ est le véhicule d’expression de notre vie biologique, émotionnelle, mentale et spirituelle.

L’eau et la lumière au travers de leur activité rythmique et dynamique forme l’essentiel de l’activité énergétique de la cellule.

L’eau de notre corps

L’eau, résonateur universel, joue le rôle de conducteur principal de la lumière biophotonique capter et émise par l’ADN. Elle est capable de s’organiser en configurations cristallines sur lesquelles peuvent s’imprimer des informations indispensables au fonctionnement de nos organes et de notre psyché. Elle est non seulement émettrice, réceptrice, mais aussi capable d’amplifier le signal afin que celui-ci puisse être lu et assimilé à distance. Ici la quantité et la qualité de l’eau est essentielle afin de véhiculer l’information lumineuse issue de l’ADN.

Dans notre organisme les cellules, qui constituent la matière vivante, renferment les deux tiers de l'eau totale et l'eau est aussi présente dans le sang et dans les tissus qui entourent les cellules. Celui-ci se présente sous deux formes : l’eau liée et l’eau libre.

L’eau liée

L’eau liée provient de nos aliments solides ; il s’agit de l’eau qui fait partie de leurs tissus. C’est par exemple le jus contenu dans les fruits et les légumes. En effet au sein de ces tissus les molécules d'eau s'organisent autour des solutés (cristaux solubles) pour former une couche dite de solvation. Cette eau a la particularité d’être structurée naturellement et de ce fait aide à purifier le système et à acheminer plus aisément les minéraux, les vitamines et autres nutriments dans les cellules. Elle est dite biocompatible.

De nombreuses recherches soulignent que l’accroissement d’énergie subtile dans un système vivant résulte en une augmentation de la quantité d’eau structurée, cela ayant pour effet une amélioration générale de la santé. Plus l’eau structurée est présente, meilleur est le fonctionnement des systèmes enzymatiques, l’assimilation des vitamines et des minéraux par les cellules.

L’eau libre

C’est celle qui constitue nos boissons. Il s’agit là de la simple eau ingérée telle quelle ou celle à laquelle sont associées des substances qui lui donnent une saveur, une odeur ou une couleur particulière. Ces eaux sont rarement structurées et, suivant leur nature, peuvent représenter un danger et une source de pollution pour l’organisme. Aujourd’hui, l’eau « génératrice de vie » est souvent devenue « source de maladies ».

Le brouillage dans la communication de l’information

Nous devons au chercheur italien Roberto Zamperini, d’avoir identifié, redéfinit et clarifier le concept de congestion énergétique. Pour lui, la congestion est le brouillage dans la communication subtile intra ou intercellulaire. La congestion peut être considérée comme un message erroné, un brouillage introduit au sein du rayonnement biophotonique issu de l’ADN.

En deux mots si le brouillage atteint un certain niveau, il devient un obstacle à la communication d’information subtile intercellulaire, l’ordre devient peu à peu désordre puis chaos.

Nous pouvons supposer que chaque cellule suit au moins deux plans :

–        un plan individuel, relatif à son propre fonctionnement ;

–         un plan général qui la coordonne avec les autres cellules et l’organisme tout entier.

Lorsque le brouillage, à l’intérieur ou à l’extérieur de la cellule, devient trop important, lorsque la congestion est excessive, la cellule perd la possibilité de suivre le plan individuel ainsi que le plan général qui l’avait guidée jusque-là et elle commence à souffrir jusqu’à en mourir, ou bien elle risque de devenir une cellule cancéreuse.

Congestion et déshydratation

Les congestions les plus insidieuses sont certainement en rapports avec les mécanismes de la déshydratation. L'histoire incroyable qu'à vécu cet homme Fereydoon Batmanghelidj est exemplaire de ce point de vue. Emprisonné lors de la révolution islamiste avec nombre de notables Iraniens, sans nourriture et bien entendu sans médicaments pour traiter les multiples symptômes physiques de ses compagnons d'infortune, Il se servit alors du seul médicament qu’il avait sous la main... L'EAU ! Ce fut à cette occasion qu’il découvrit que la seule consommation d'eau à des temps donnés permettait d'améliorer voire de guérir complètement ces compagnons.

En effet l'organisme a besoin d'eau pour fonctionner, car :

L'eau entre dans la composition des tissus et des organes

l'eau permet le transport des nutriments, des minéraux, des vitamines ... du sang vers les cellules qui en ont besoin, et contribue aussi à l'élimination des déchets.

L'eau intervient aussi dans les phénomènes de régulation thermique par le biais de son évaporation (la transpiration).

Et surtout l'eau évite à notre organisme de se déshydrater : nous sommes très dépendants des apports en eau car nos réserves sont faibles. Ainsi, une perte hydrique de 5 à 10% du poids du corps est suffisamment grave pour entraîner l'apparition de troubles sérieux.

Lors de la déshydratation, les protéines et enzymes transportées se meuvent dans un milieu plus visqueux : leur efficacité en est diminuée. De plus ce manque d'eau provoque la sécrétion de substances chimiques génératrices de maladies, de stress et de souffrance physique et psychologique.

Les conseils prônés par le Dr Batmanguelidj sont simples à mettre en œuvre. Le corps a besoin de six a huit verres d'eau (de 25 cl) par jour. C'est le minimum absolu. 

         Alcool, thé, café, vin ou sodas ne sont pas pris en compte

         Un verre une demi-heure avant chaque repas

         un verre deux heures et demie après

         il en faudrait deux supplémentaires autour des repas les plus lourds et avant le coucher

Surtout ne pas oublier que plus la consommation d'eau augmente, mieux on perçoit les mécanismes de la soif…

 

Vers une nouvelle approche de l’eau

H2O. Cette molécule est en train de transformer totalement notre rapport au vivant et notre façon d’appréhender le monde naturel. Outre la quantité d’eau qui est nécessaire à notre survie la question de la qualité est souvent abordée que du point de vue physico-chimique de la potabilité. Pourtant de nombreux chercheurs et naturalistes nous montrent que l’élément eau, si simple en apparence, possède des propriétés surprenantes de structuration, de résonnance, de dynamisation, de réception et de transmission d’information.

Malgré une forte inertie au changement, la notion d’eau vivante ou « vitale » et d’eau morte pénètre progressivement dans la pensée collective, et parfois scientifique. Yann Olivaux, biophysicien, auteur d’un ouvrage de référence sur le sujet, désigne cette dimension organisée ou désorganisée de l’eau sous le terme de biocompatibilité. Ce concept est complémentaire de la potabilité dans le sens où une eau peut être considérée potable par les institutions sanitaires mais non biocompatible au regard du chaos de son organisation moléculaire (sa structuration). A l’inverse, elle peut aussi être structurée et non potable ou encore, de manière idéale, à la fois structurée et potable.

Théodore Schwenk (1910-1986) tout comme Viktor Schauberger (1885-1958) sont entrés tous deux par leurs approches sensibles dans l’intimité de l’eau, la décrivant comme le sang de la terre, toujours en mouvement, adorant les courbes, les sinuosités, les méandres, oscillant d’une berge à l’autre, se régénérant et se réoxygénant dans les tourbillons. Même en plein océan, on peut observer que les courants chauds du Gulf Stream décrivent, au milieu des eaux froides, de grands méandres qui se déplacent avec le temps.

Ces observateurs aiguisés de la nature se sont toujours insurgés contre les méthodes « modernes » d’acheminement de l’eau qui consistent à corseter les fleuves dans des lits de béton rectilignes, à faire circuler l’eau dans des canalisations droites, lui ôtant toute possibilité de se mouvoir selon sa dynamique naturelle : ondulatoire et spiralée !

Ils ont tous les deux décrit et expérimenté le Vortex comme un mouvement fondamental qui est à la base de l’organisation des systèmes vivants. On retrouve en effet cette dynamique du tourbillon et de la spirale dans le développement des plantes et des coquillages aussi bien que dans la circulation des liquides sur la Terre ou encore dans la formation des masses nuageuses et des constellations. Un cours d’eau sain s’épure et s’anime naturellement en créant des spirales et des vortex. N’est-ce pas là le début d’une nouvelle approche de l’eau ? Aujourd’hui, face aux enjeux fondamentaux lié à ce que l’on nomme déjà « l’or bleu », sa géopolitique et son accessibilité, face à la pollution majeure des ressources hydriques, il semble qu’un nouveau regard porté sur cet élément et sur ses propriétés particulières pourrait bien apporter nombre de solutions aux problèmes posés, faisant des défis d’aujourd’hui, des opportunités pour demain.

La régénération de l’eau en pratique

Au fil de ces dernières décennies, de nombreux « chercheurs de l’eau » ont mis au point des dizaines de dispositifs permettant de redonner vitalité, rythme et dynamisme à des eaux fatiguées ou mortes. Les scientifiques les appellent des « procédés de structuration de l’eau » ou PSE. Certains utilisent des mouvements mécaniques reproduisant un vortex ou des dynamiques spiralées (Vasques vives, cruche à vortex, etc.), d’autres des procédés de résonnance énergétique (Système PENAC – Grander – etc.), d’autres encore des procédés chimiques ou thermiques. Certains PSE combinent l’action mécanique avec la résonnance énergétique (Systèmes Ewo – Weber).

Un exemple : Parmi les appareils mécaniques, la Cruche à Vortex, qui impulse un tourbillon dans toute la profondeur de l’eau grâce à son hélice en argent, est un outil particulièrement efficace, pratique et simple à mettre en œuvre pour bénéficier d’une eau de consommation courante de grande qualité.

Les effets constatés après un cycle de dynamisation de l’eau de trois minutes dans la cruche sont nombreux : forte réduction du chlore, neutralisation du PH, oxygénation supérieure, bonification du goût, augmentation de la qualité vibratoire. L’eau obtenue favorise également une meilleure élimination, améliore l’assimilation des nutriments et des oligo-éléments, neutralise l’excès d’acidité dans le corps.

Cette eau peut être utilisée aussi bien pour la boisson, pour la toilette, que pour la cuisine, la revitalisation des légumes et des fruits, ou bien encore pour les plantes et les animaux.

De nombreux outils, permettent aujourd’hui une dépollution en profondeur de notre organisme. Certains dispositifs relancent le signal de la soif au niveau du cerveau nous permettant de retrouver le goût de boire de l’eau, d’autres à l’aide de vortex permettent d’éliminer les traces de pollution électromagnétique et d’oxygéner l’eau. Les biocatalyseurs à base d’orgonite, de Shungite et d’Ormus quant à eux permettent de libérer nos eaux internes des mémoires souvent pesantes générées par nos lignées généalogiques ainsi que par nos pensées toxiques et émotions négatives. Ces biocatalyseurs à l’aide de leur pierres précieuses et semi précieuses et des éléments ormus qu’ils contiennent, agissent principalement au travers du champ biophotonique et du réseau hydrocristallin.

Shungite, le 4e état du carbone

La pierre de shungite est unique dans le monde minéral à cause de la spécificité de la composition moléculaire de son carbone fait de fullerènes (nano-carbone naturel). Les scientifiques qui ont étudié la roche de shungite déclarent de manière unanime que les propriétés de ce minerai tiennent du miracle. La shungite a la capacité de nettoyer l’eau de presque de tous les composés organiques, pesticides, métaux, bactéries et micro-organismes nocifs tout en élevant son taux vibratoire. Elle agit donc à la fois sur les propriétés physicochimiques de l’eau et sur sa qualité énergétique.

Selon les données de la littérature scientifique russe, l’eau de shungite aide à lutter contre des maladies diverses. Mais le plus important est que la vitalité générale est renforcée. L’eau entrée au contact de cette pierre soulage les maux de tête, les maux de dos, les rhumatismes, défait les états névralgiques, normalise le sommeil, stabilise la tension artérielle, l’appareil respiratoire et augmente l’énergie.

Les recherches sur les propriétés uniques de cette roche permettent à nombre de scientifiques de baptiser la shungite de « médecine du XXIe siècle ». La reconnaissance récente de cette roche dans notre pays ouvre un champ d’investigation passionnant à tous les chercheurs du vivant, depuis les sciences les plus dures aux approches quantiques et plus sensibles.

Les propriétés de la shungite, ainsi que l’étude et l’utilisation d’éléments monoatomiques (ormus) contenus dans certaines roches volcaniques, sédimentaires ou dans l’eau de mer, annoncent sans conteste un nouveau paradigme dans l’approche de la dépollution et de la régénération des organismes vivants : une approche fondée sur les nanopropriétés et les structures présentes au sein de certaines matières naturelles.

 

Bibliographie

1.       Le miracle de l'eau - Masaru Emoto – Editions Guy Tredaniel

2.       Notre corps réclame de l’eau – Fereydoon Batmanghelidj – Editions Jouvence

3.       Notre troisième système nerveux – Jean Yves Gauchet - EfferveSciences n°23

4.       La nature de l’eau – Yann Olivaux – Editions Résurgences

5.       Anatomie subtile - Roberto Zampérini – Editions Trajectoire

6.       Physiologie subtile - Roberto Zampérini – Editions Trajectoire

7.   La Shungite énergie de vie – Regina Martino – Editions Ambre

Christian Gana

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