Le vortex, un mouvement au service de l’eau
Par Christian GANA - chercheur autodidacte sur l'eau, l'homme, la terre. Concepteur et fabriquant de biocatalyseurs à base d’orgonite et de shungite.
Observons les forces actives au sein de la Nature. Celle-ci nous fournit d'innombrables mouvements fondés sur un modèle dynamique spiralé s'exprimant sous forme de galaxies, tourbillons et vortex. Des forces que la Nature emploie pour construire, organiser et régénérer apportant de nouvelles pistes de dépollution énergétique pour l'homme et son environnement.
De célèbres chercheurs comme Viktor Schauberger, Theodor Schwenck, Wilhelm Reich, ont distingué deux sortes de mouvements tourbillonnaires spiralés à l'œuvre dans la nature. L'un allant de la périphérie vers le centre (centripète). L'autre allant du centre vers la périphérie (centrifuge). Ils remarquèrent que le mouvement spiralé centripète allant dans le sens des aiguilles d'une montre (dextrogyre) décrit la manière dont la Nature engendre l'énergie créatrice de la vie constructrice des formes. Le mouvement contraire centrifuge (lévogyre) est destructeur des formes.
Le Vortex nous fait donc entrer dans cette autre dimension, celle de l’implosion, force centripète qui va de la périphérie vers le centre en concentrant l’énergie et en organisant le chaos, de façon silencieuse et économe. Dans les formes qu’elle crée,la Nature illustre ce mouvement universel qui permet un maximum d’efficacité pour un minimum d’énergie dépensée (coquillages, formations nuageuses, constellations, écoulement de l’eau, formes animales et végétales, etc.). C’est ce mouvement tourbillonaire quela Nature utilise pour nettoyer et régénérer ses eaux. Il la nettoie par la dissolution des mémoires, des informations et des empreintes électromagnétiques des polluants qu’elle contient et qui demeurent même après une filtration aussi fine soit-elle.
La structure du vortex présent dans la nature libère l’élément-Eau et l’élément-Air des poisons qui les dénaturent. Après un cyclone ou une tornade, l’air est totalement nettoyé. Il en est de même pour l’eau dans les grands tourbillons océaniques, comme dans le lit des rivières.
Les études de Viktor Schauberger (1885-1958)*, découvreur des grands principes de l’eau, ont montré que pour qu’un vortex soit efficace, il doit reproduire un mouvement tourbillonnaire d’une durée au moins égale à deux minutes, avec un « pas » et une amplitude en correspondance avec le nombre d’or. Ce sont d’ailleurs ses travaux qui ont inspiré la forme et le mouvement idéal de l’hélice présente dans un dispositif de dynamisation de l’eau nommé « cruche à vortex ».
Grâce aux dispositifs bâtis selon ces principes, les informations sont transmises à l’eau non par une substance mais grâce à un mouvement qui génère un vortex. Celui-ci concentre et augmente l’énergie et le taux vibratoire, lie à l’eau oxygène et gaz rares contenus dans l’atmosphère. Mais ce qui est plus essentiel encore, c’est la possibilité qui nous est donnée d’enlever les « informations » - signatures vibratoires - des polluants contenues dans l’eau et qui peu à peu déséquilibrent nos systèmes organiques.
Références bibliographiques sur le vortex et les propriétés particulières de l’eau :
- Le chaos sensible - de Théodor Schwenk - Ed. Triades 1982
- La nature de l’eau - de Yann Olivaux - Ed. Pietteur 2007
- Le génie de Viktor Schauberger - de Alick Bartholomew - Ed. Le courrier du livre 2005
- Votre corps réclame de l’eau - de Fereydoon Batmanghelidj - Ed. Jouvence