Shungite et développement humain
« Là où croît le danger, croît aussi ce qui sauve ». Friedrich Hölderlin
Au fil des années, nous avons constaté que la volonté de certains courants alternatifs de justifier leur approche vis-à-vis des institutions et de la sphère publique, finissait par leur faire prendre les mêmes travers matérialistes et mécanistes que ceux qu’ils dénoncent. Il n’est pas rare de constater que le besoin de tout justifier finit par nous écarter de l’intuition, d’une appréciation générale plutôt que de détail, et finalement de l’identité originelle. Nous avons ainsi tous contribué à la pluie informationnelle qui participe du bruit ambiant dont nous avons parlé plus haut, inhibant discernement et clairvoyance. Pour notre part, nous nous efforçons depuis quelques années à ne plus répondre aux mirages de la justification - liés à l’éther réflecteur - pour nous tourner vers l’inspiration liée à l’éther formateur.
Les nombreux commentaires que nous pouvons lire et entendre sur la shungite illustrent ces déviances qui, en occultant le contexte dans lequel cette roche s’inscrit, finissent par lui appliquer une analyse et un regard critique réducteur et biaisé. De nombreux témoins et utilisateurs de la shungite se posent des questions sur sa composition, et notamment sur l’aluminium ou le soufre qu’elle contient, mais également sur les «mauvaises énergies» dont elle serait le réceptacle. Il est plutôt sain de se poser des questions afin d’intégrer du nouveau dans nos systèmes d’information, mais avons-nous le courage d’accepter et d’assumer les remises en question amenées par les réponses ? Et encore plus celui d’aller au-delà de la superficie des choses pour oser entrer en relation et expérimenter ?
C’est la raison pour laquelle nous avons souhaité éclairer un peu le débat sur la shungite en recadrant certaines contre-vérités et en repositionnant cette pierre dans un contexte plus vaste, celui du développement humain dans la période de transition que nous vivons. Nous qui utilisons cette pierre depuis plusieurs années maintenant et qui sommes allés en Russie sur le site de son extraction, nous vous invitons à un voyage carboné au coeur du Vivant, à l’écoute du futur, dans cet espace silencieux que la shungite nous offre en ces temps de grand bruit.
Composition de la shungite - éclairage
L’aluminium qu’elle contient est un aluminium naturel, qui est l’un des constituants principaux de la croûte terrestre (8 % de la masse, c’est le troisième composant après l’oxygène et le silicium).
Cet aluminium naturel, qui est l’un des principaux composants de l’argile thérapeutique avec le zinc et la silice, est un nutriment et un remède notamment dans les cas d’atonie cérébrale, de troubles nerveux et de ceux du sommeil.
La couverture des besoins quotidiens en aluminium est assurée par une alimentation équilibrée ou par supplémentation. De nombreux aliments contiennent de l’aluminium (coquillages, végétaux, etc.) mais nous trouvons les teneurs les plus intéressantes dans les algues, la levure alimentaire et la pomme pour notre bien être et notre santé. L’aluminium naturel contenu dans la shungite, l’argile et certains aliments ne représente donc pas de danger pour la santé présente ou future.
En revanche, la cuisson des aliments dans des récipients et casseroles en aluminium traités de manière industrielle libère cet élément en grande quantité dans les fluides et les tissus du corps. Il devient alors difficile à éliminer. Ce type d’aluminium non naturel est reconnu pour ses effets neurotoxiques.
Il en est de même avec les nanoparticules ou les éléments monoatomiques. Ceux-ci dans leur état naturel stimulent l’immunité, la santé du corps, de l’âme et de l’esprit alors que ces mêmes éléments, artificiels, sont source de maladies dégénératives.
Sur certains forums, les auteurs parlent de l’aspect dangereux de la shungite « puisqu’elle contient entre autres éléments toxiques l’aluminium et le soufre, d’autant plus que la pierre est friable ». Il n’y a pas plus « friable » que l’argile que nous utilisons pour la confection du lait d’argile puisqu’il est en poudre... Et le lait d’argile est efficace aussi bien pour se détoxiner que pour se détoxiquer...
Pour le soufre il en est de même. Particulièrement présent dans les graines germées, il est indispensable au transport de l’oxygène dans les cellules, le soufre est normalement disponible dans notre alimentation quotidienne. Depuis un demi-siècle, les pesticides et le raffinage des aliments ont pratiquement éliminé toute trace de soufre de notre nourriture. La carence ainsi créée pourrait être à l’origine de bon nombre de pathologies modernes. Le soufre naturel redécouvert dernièrement et qui porte le nom de MSM, que nous trouvons dans nombre de produits diététiques, est bon notamment pour : la peau, l’hypertension, le cholestérol, la protection des infections, les maladies digestives, le diabète, les parasites, la dépression, la recoloration des cheveux gris, les glaucomes, les gencives, les migraines, la régénération du foie après hépatite C, etc…
Le Carbone
Dans son « cours sur la substance » le Dr Hauschka nous parle du carbone :
« Dans la nature vivante et chez l’homme, nous remarquons que toutes les formes organiques sont pénétrées de carbone. Chaque feuille, chaque fleur, chaque fruit, chaque animal, chaque organe humain, toute substance différenciée tient sa forme des forces formatrices du carbone. Nous percevons cette force formatrice derrière une variété infinie de formes dans la nature organique. La chimie moderne nous donne par ses formules une image claire et concrète de cette force qui structure les formes. Le carbone se distingue de tous les corps existant sur terre par son aptitude à se lier à lui-même ; il peut par conséquent former sans cesse de nouvelles structures, des chaînes et des circuits nouveaux.
Mais une partie de l’activité formatrice du carbone nous échappe si nous ne le percevons que dans le monde physique et éthérique. Ce monde fait écran à un feu qui fait du carbone le porteur des forces formatrices cosmiques. Si le carbone parvient à produire tant de substances organiques, nous pouvons en imaginer l’unique raison : c’est qu’il est une essence vivante créatrice, pénétrée des images archétypiques du monde spirituel. Tel un sculpteur qui porte en lui l’idée ou l’image de l’œuvre à créer et cherche à l’imprimer dans la matière : bois ou pierre, ainsi le carbone doit-il nous apparaître comme le porteur des imaginations cosmiques qu’il fait apparaître dans la matière en se servant des autres substances.
Nous pouvons donc reconnaître le carbone comme porteur de cette force qui imprime au solide le feu, à la matière l’esprit. Les alchimistes l’avaient appelé « Pierre des sages», elle qui permet à l’esprit d’agir dans le corps de manière à ce que le corps physique soit pénétré du feu ardent et purificateur de l’esprit. »
Le Carbone apparaît dans le monde minéral sous forme de trois modifications allotropiques : le charbon, le graphite et le diamant. Il se présente sous ces trois aspects à l’état pur.
Avec la shungite, nous sommes en phase avec une quatrième modification du carbone : les fullerènes - nanocarbone naturel - découverte en 1985 par Harold Kroto, Robert Curl et Richard Smalley.
L’histoire d’Ormus
Fin des années soixante dix, David HUDSON, à l’aide de chercheurs russes, découvre l’existence d’une toute nouvelle classe de matériaux. Ces matériaux possèdent des propriétés inhabituelles, parfois ils disparaissent, lévitent ou traversent des parois solides. Ces éléments ressemblent à certains matériaux utilisés et décrits par les anciens alchimistes. Les textes anciens, hindous, chinois, égyptiens ou occidentaux, font allusion à des matériaux similaires possédant des propriétés identiques.
Les éléments ORMUS qui sont des nanoéléments naturels ou éléments monoatomiques sont des minéraux nutritifs essentiels à toute forme de vie. Ormus apparaît comme étant un supraconducteur naturel à température ambiante qui repousse les pôles magnétiques nord et sud. Ces éléments possèdent, dans certaines conditions, un pouvoir de lévitation ainsi que la capacité d’emmagasiner une grande quantité de lumière et d’énergie.
Ces éléments proviennent de l’air, de l’eau, de la terre et sont présents partout dans la nature. Ils peuvent être extraits des sols volcaniques, des métaux précieux ainsi que de l’eau de mer. La particularité majeure de ces éléments est qu’ils font le lien entre la matière et les forces formatrices (l’éthérique), entre le corps physique et le corps énergétique ; corps énergétique qui est le Cœur du corps à toute échelle, depuis celui du minuscule atome jusqu’à celui des galaxies.
Ces éléments présents dans la nourriture permettent :
- Une meilleure assimilation des nutriments.
- Le rééquilibrage du PH corporel.
- La réparation et la régénération cellulaire.
- Une meilleure communication entre la conscience et la vie cellulaire.
Lorsqu’ils sont consommés :
- Ils augmentent le circulation de l’énergie dans le corps humain.
- Ils augmentent la communication cellulaire et la cohérence.
- Ils apparaissent comme étant une nourriture pour le corps, l’âme et l’esprit.
De nombreux laboratoires dans le monde distribuent cette substance concentrée pour la prévention et le bien être, la santé et l’agriculture.
Notes :
Notre rencontre avec ORMUS
Nous avons fait venir en France avec l’aide d’une amie en 2005 et 2006, Barry Carter, coordonnateur et gestionnaire de la plus grande base de données de chercheurs dans le domaine d’Ormus. Grâce à cette rencontre nous avons pu prendre contact avec cette substance qualifiée d’exotique. Lors du séminaire proposé nous avons appris à extraire cette substance de l’eau de mer, à l’utiliser pour les plantes et pour nous mêmes. Nous avons alors organisé des rencontres afin de transmettre cette pratique. Par la suite nous avons choisi de nous orienter vers l’utilisation de terres paramagnétiques contenant de l’Ormus. Depuis nous utilisons ces poudres de roches que nous trouvons plus appropriées à notre approche.
Pour en savoir plus sur ORMUS :
Revue sur les métaux du groupe platine :
Platinum Metals Review
http://www.platinum.matthey.com/
Barry Carter
http://www.subtleenergies.com/ormus/index.htm
Base de données sur Ormus en français
http://www.orvive.fr/donneesormus.html
et le DVD conférence NAVOTI - nov.2006
Les nanoéléments naturels / Le nanocarbone
L’une des particularités de la shungite est qu’elle contient tous les éléments du tableau de Mendeleïev. Elle entre de ce fait en contact avec les éléments du groupe platine qui composent l’Ormus. Comme pour les éléments Ormus, certains parlent d’elle comme d’une pierre « intelligente » qui stimule notre propre organisme et réactive notre intelligence cellulaire.
La caractéristique des nanoéléments est qu’ils passent ce que nous appelons la barrière immunitaire c’est-à-dire notre système de défense acquis. Cette particularité, négative et dommageable pour le vivant lorsque ces nanoéléments sont artificiels, semble au contraire nourrir et stimuler les forces de vie du système immunitaire lorsqu’ils sont naturels, comme c’est le cas dans la shungite.
En nous reliant aux forces formatrices du futur, la shungite réorganise notre capital information afin de nous permettre d’y participer.
Les deux mots clés qui émergent de l’activité intérieure de cette roche sont : Organisation et Information.
Il s’agit là d’une roche qui, au niveau de son activité, est en phase profonde avec les besoins de l’humanité. Sa redécouverte permet de prendre contact avec ce qui du cœur de l’univers est susceptible de nous transmettre les forces pour la création du monde de demain. Elle ouvre ce que nous pourrions appeler « le passage ».
Nos expériences nous ont démontré que certaines des propriétés de la shungite, ainsi que l’utilisation d’éléments monoatomiques (ormus), sont susceptibles de rétablir une communication cohérente entre les centres énergétiques majeurs et mineurs du corps humain. Ils peuvent aussi rétablir le contact entre le corps physique et les corps énergétiques jusqu’au corps causal. Cet état de communication, de fluidité entre les centres et les corps subtils, sans résistance, est analogue à la supraconductivité et au rayonnement laser. Nous pouvons observer ce phénomène au travers de l’activité supraconductrice naturelle de l’ADN et de son rayonnement de lumière biophotonique.
Ceci annonce un nouveau paradigme dans l’approche de la dépollution et de la régénération des organismes vivants. C’est l’expérience à laquelle nous invite la shungite.